Caresse de fièvre.
Tu t’évapores parfois mon amour pourtant je sens toujours ta présence renégate, mistral souterrain, sous tes reins le vent du large douceur épiée, filigrane d'amour. Prison de verre, pantin de sable, la vie comédienne ambulante, love me tender un indissoluble souffle et novembre bavarde long frisson, jérémiade et le jour s’aveugle … Tu me tiens dans tes bras, sourde et éméchée de ce temps qui s’en va …
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