Ce vent qui souffle au creux de mon âme …
L’amitié que l’on ne veut pas conquérir mais que l’on désire comme une offrande.
Cette affection que l’on voudrait fantôme mais qui par son besoin vous tend une main bénéfique.
Celle qu’un être vous offre sans vous faire souffrir.
Celle qui n’a pas de frontière mais des barrières magiques que l’on rompt d’un sourire.
Celle qui ne quémande pas, celle qui respire sans bruit.
Celle qui se dessine sous l’ombrage de vers, d’une verve conquise.
Une brise pleureuse me violente, frôle ma joue comme une caresse indécise.
Elle se nomme zéphyr moi je me dénomme désir.
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