Comédie musicale.
Il y aura toujours une hirondelle et un faubourg, un tremblement d’amour murmure d’un bruissement d’ailes. Et même si mon vol est infidèle je reste ta bohème. Et quand les larmes me viennent au cœur, ma prunelle étendue sur la grève, les valses de Vienne me grisent, je t’aime à l’italienne. Vivre et gémir en reflet éternel, posé givre sur ma paupière bohémienne, danse inanimée, les brindilles de tes lèvres.
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