Comme un vieux rose...
Ballet des jours moroses, tango ce vieux rose et mon cœur n'ose l'aurore pourpre... Et ces fleurs des champs sous l'ombrelle de ta prunelle, passeuses fugueuses. Je me sens gosse à en cueillir les feuilles mortes... Passent les oies sauvages, monotonie automnale la caresse d'une larme. Branchage d'un lieu-dit hiémal pêle-mêle des souvenirs, l'ombrage de ton regard.
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