Comptez fleurettes …
La vie ouvreuse de bail, si elle était femme de papier elle serait ma première page blanche jusqu’à la dernière nausée des hanches de mes rimes, un filet de rosée au creux de mes reins. Une bouche entrebâillée sur les lèvres d’un encrier comme un passeport interdit, vendre à la criée un vieux poème oublié, sur le port d’Amsterdam quelques vers enchevêtrés avec le bordel des marins, leurs haut-le-cœur des quatre chemins. Á ma boutonnière un quatrain, lys blanc qu’effeuille un ange à l’aube ambrée de chacun de mes soupirs. L’amour et la pluie en alternance, deux amants de convenance sur un écran de ciné d’une réfugiée où s’avortent tendrement mes mots gosses, un nœud à mon jupon, s’estompent les valses de Vienne, aux larmes Mozart.
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