Coursière.
La vie est une bohème que les caresses du temps apprivoisent. Rose se meurt un peu de nous à chacune de tes larmes hivernales. Mélodie fluette la brise sifflote, sous ta robe légère les haillons de l’arrière-saison. Vacille demoiselle champêtre et même si ta charmille est bohémienne y pleure ta rosée éternelle. Oscille ta musette du baisemain au baiser de demain posé sur des lèvres comme un innocent bambin. Le printemps sera gai pinson si ta fièvre est pastourelle.
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