Devant ta porte close.
Au vent d'automne, frivoles feuilles mortes se griffonne brouillon d'espérance un coin de ciel bleu. Du gris dans tes cheveux, de la brume dans tes yeux, le brouillard des jours anciens... L'estompe d'un rimmel berceuse de tes cils, glissent mes larmes sur ta joue. Orphelinat de nos gestes tendres les vagabonds de mon enfance. La relance du temps qui passe. Se froissent et se défroissent les souvenirs. Cette guerre froide ; la tiédeur d'un lit et les stalagmites accrochées au rocher, toutes ces journées pâles aux vitres ensoleillées, reflet du passé.
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