Promenade sur une partition.
Se laisser séduire l’esprit puis enduire le corps, gémir le participe passé d’une guerre anticipée, d’une prière envoûtante se faire lyncher puis caresser le dos d’une légère courbature, déconvenue qui à bras le corps vous insulte. Le brame d’un cerf aux abois, majestueuse larme de biche d’un cœur de bois qui aboie comme un chien dans l’errance du bois aigris de l’oubli. Gouttes grises grisent ma mémoire, grimoire où gesticulent les chuchotements de tremblements assoupis qui saccagent tendrement sarcasmes et rires désunis des parois d’une conscience. Ivre d’être mortel ou ivresse de la vie, meubles anciens au chant funéraire meublent chaque recoin d’un printemps en sursis aux mœurs automnales et chiale un temps monoparental.
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