Douleur de poète.
Le temps accoucheur d’orgueil, les heures souffleuse des jours, eh meunier tu dors ... Destinée, ma petite bonne femme au radada, ma grosse gueularde au ras du cadenas, avec mes pointes au cœur, j’ai besoin d’une kinésie du souffle … Ma chère bergère garde moi loin de ta bergerie, éloignée de tes baisers de cyanure, la misère au bord de tes lèvres … J’ai mis dans ma petite valise les grands mots de mes maux et les petits mots de ma poésie. Je me souviens de tes preuves d’amour … Anorexique de ta musique, aigre faim, les violons de la dépendance résonnent, aigrefins du bonheur, aigre fin, sans bénévolat d'un cœur le mien serait sourd.
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