Eh mon amie la rose !
Et court-vêtue en son pourpre, sa blancheur fut mise à nu. Papillonnent nos heures, jouvencelles, jolie robe de rêve comme une traîne sans parole, les ailes de ta corolle sillonnent mes cieux. Les aubes silencieuses qu’à ce jour tu m’offres sont l’aurore endormie du jardin d'Éden et mon amie la rose voile sur mes yeux …
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres