Équinoxe.
Quand passe le temps bohème aux quatre vents. Nos mains bohémiennes câlinent les souvenirs. La balade orpheline des feuilles mortes, me reviennent les quatre saisons traîne solitaire aux solstices nonchalants. L'oubli de quelques premiers pas... Théâtral pupitre où s'endort l'enfant, nostalgique berceuse pelotonnée au creux de ma main quand passent les oies sauvages oubliant nos adieux.
Retour aux articles de la catégorie Le souffle du temps ... -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres