La nudité de l'esprit.

Quand on a que l’amour  à s’offrir on en garde quelques miettes au fond d’une vieille table de nuit pour en faire le plus beau  voyage. La torche à la main dans l’insouciance je parcours le temps, ses caresses  hymne à l’enfance égarée trop tôt …

Au cri de ma dernière aube, j'aimerais mourir en solo sous les étoiles au trémolo, écouter les sanglots du temps et m'enfuir en rêvant jusqu'au firmament. S’il a poste vacant  tout la haut  … Sur un coin de chaise être scribe du temps jusqu’à la fin des temps, sans cesse être ce vent d’autan, dotant  le parchemin de la vie du chemin qui mène à la vie. Á la vie  bourgeoise  d’une vie campagnarde où la gerboise et la campanule épouses printanières pointeraient  soleil à chaque fossé d’ombre.