Fagot de vie.
Tant la brume nous berce dans ce monde au clair-obscur que nos mains ridées ne savent qu'happer le temps ; ce vagabond inconscient à la dérive des souvenirs. À l'écluse des quatre vents l'anodin chant de la détresse où se mire la tendresse délinquante des heures en fuite, de ces jours libertins où la vie s'excuse de ses maladresses. De ces soupçons infondés où le cœur inondé d'un obscur-clair se baigne dans les aurores interdites et je songe l'âme alourdie aux fugitives pensées de l'aurore boréale de nos nuits éteintes.
Flammèche covidienne il faut l'éteindre avant qu'il ne reste plus que des cendres d'humanité.
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