Faiblesse d’une poétesse.
Mon âme chavire ballot du cœur, lilliputienne au creux de mes rêves, nulle lune n’est mienne mais sans aucune virgule les astres m’apostrophent. Le céruléen de tes yeux voûte des cieux m’enivre … Tremplin noctambule de notre vie à deux où mes rimes deviennent femme et mes quatrains soie de notre couche sans fin. Faut-il ma chère plume que notre cœur en deux se déchire pour rassasier le poète et la dame. Ma main aime caresser le papier, mes courbes chérissent ses mains caressant sa moitié. Un jour de pleine lune il nous faudra bien fumer le calumet de la paix, froisser des draps sans se chiffonner l’âme et mouiller ma couche de femme en jetant l’ancre sans encrier.
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