Femme entre tes bras.
Tu me regardes mais je reste ce nu devant tes yeux. L’aube danse jouvencelle sur le ponton de la vie, se défroissent mes paupières. Un rêve agenouillé sous le jupon froissé de la nuit. Je me souviens de mes boutons d’acné, de cette jupe détachée, flottille de soie libertine au vent … La mousson de tes mains dégrafe mon corsage, un aveu de mes seins ils sont les premiers bagages de mon amour orphelin que tu as adopté. Mes courbes se dévoilent et s’envoilent petite marchande aux allumettes à l’éternel souffre du souffle de ta bouche.
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