Fichu d’un brouillon …
Le matin a ouvert ses volets depuis longtemps mais mes prunelles rideau tiré, s’abandonnent à l’oisiveté, s’adonnent au flegme du mois de septembre. S’annonce le feuillage automnal bras en filigrane de l’hiver latent. Ma main s’ouvre péniblement en sa paume un bleuet séché, les automnales de mon cœur … Linge blanc repassé, ressasser la rosée, l’échappée de nos veillées, brindilles de bohème, l’amour sait … Ecris-moi un je t’aime même si l’espérance s’en va, va le pas des amants, sur un chemin d’antan jamais le vent n’en rapporte autant châle de printemps.
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