Filament, fil amant, file amant ...
Les fleurs du mal en ce jour écloses
en mon âme et conscience.
Ma muse m’use,
concert insoutenable de rencontre amoureuse
entre voyelle et rime douloureuse.
Peu m’importe sa fenêtre close,
mes entrailles overdose
de mes vers,
insubordination de mes lèvres.
De ma bouche pulpe morose.
suinte le parfum de mes roses,
elles osent
m’importuner de la sorte,
sottise,
ignobles sottes !
Ma plume ne s’interpose …
Rosse,
rebelle,
l’enfant de bohème.
Se croît-elle éternelle ?
Je ne suis qu ‘éphémère,
rides de poèmes.
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