Il était une fois la femme …
Il y a le ménage de printemps petit bourgeon dans le temps, l’entretien ménagé quotidien de l’été roses ensoleillées, et le lessivage de l’automne feuilles dans le vent. Le ménage d’une bonne ménagère les cheveux en échappée de folle en guise de plumeau. Mais il faut bien se ménager, la chevelure en négligé de vierge, aube de jouvencelle à fleur de peau.
Et traîne ma bohème sur les chemins de fer … Que me reste-t-il à faire …
Á petites enjambées je chemine. Á pas de nain je me dandine. Mais cela n'est rien ... Quand mon cœur fait le bohémien je me sens si bien ... Quand ma vie s'habille d'un tout petit rien. Je sais je n'en ferais rien de quatre brindilles. Mais ces deux ou trois bouts de fil là au creux de ma main sont les lignes de mon destin. Juste quelques lignes et mes vers filent vers demain. Broderie de trois fois rien mais ça ne fait rien.
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