Intérieur.
Ouvre grand tes yeux pour voir le faciès d’autrui. Pénètre son regard sans lui voiler ses iris alors tu connaîtras ses pensées. Ne change jamais sa vision car il lui appartient. Et ferme ton ouïe avant que des mots deviennent cancer d’âme.
Quand la manche de vie se fait fourreau d’une arme blanche, cherche dans ta poche la doublure imperméable de ton esprit, tu y retrouveras ta muse endormie, réveille-la ! Elle te donnera une plume chatouilleuse de cœur afin que ton cœur s’amuse à nouveau, se jouant de la tristesse avec quelques vers de tendresse, les sentiments flirtant entre ciel et terre, la poésie à la main, mélomane de ta vie.
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