Kermesse.
Quand le langage du cœur s’endort les larmes sont ailleurs,
à la main, une rose.
Quand le parler de l’âme s’éveille bouture,
à la boutonnière du cœur, une marguerite.
J’épanche ma soif dans le carton des souvenirs, au crépuscule m’endormir en vers sur le bord de tes lèvres, laisser fuir la misère. Se laisser séduire évangile dans les draps de mon ventre souterrain. Sous tes reins l’odeur d’un jasmin fuyant, vagabond au cœur incertain, au creux de tes mains un refrain mes petits seins saillants.
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