Prisme.
Tu es ma guenille mais je t’aime. Depuis le temps que je te traîne … Érodé par tant de je t’aime, noyé de pleurs et ranimé par des caresses. Toutes ces mains, vermine qui chemine, éros ! Tous ces doigts dégrafant mon corsage pour t’apercevoir mais toi tu fais le cancre en te donnant juste à des gestes d’amour. Et cette main qui soupire, tressaille en voulant recoudre ce morceau de chair sous l’auberge de mon sein gauche, palpitations de mon jupon, oui mon cœur tu es malade de l’infortune de toutes ces roses.
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