La portée des cieux …
La rose et le chagrin, liberté d’un matin tiens moi la main. Je t’emmènerai marée de goélands … Goûter la vague et le sel des fonds marins, nous voguerons jusqu’au sans lendemain. L’innocence du cœur à portée de la main, ailes blanches de cœur de bohémien, toutes deux immigrées d’un peuple souterrain, sur notre chemin la caresse des anges porte à porte d’un destin, là, poser sur tes paupières, un océan de lumière, nos maux sans blasphème à la porte de l’Olympe.
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