La veille.
Viens ma vieille, on va faire valser les fleurs... Comme au bon temps de l'amour dans ta prunelle, un peu de rose sur tes joues suffira à égayer le temps cet égoïste qui depuis trop longtemps te tient la main sur le chemin des feuilles mortes. Ne pleure plus la vieille, écoute le silence des larmes blotti sous ta paupière. Douce flanelle sur tes épaules l'écho du printemps, la fringale des champs de blé aquarelle d'un cœur enjoué malgré la marelle des années.
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