L’amour en alternance. (acte 2).
Et s’étiolent aubade les pétales de rose, fleur mortuaire du désamour, Ô funestes ténèbres ! Je ne trouve pas les clefs de ton cœur et je n’en guéris point et mon âme prise au piège de sa serrure s’adonne poème d’immortelle. Faudra-t-il que notre amour se meure sans honorer Baudelaire. Ô frêle gaieté abandonnée … Sépulture suspendue au soleil où ruisselle l’ombre du verbe aimer, les poings liés et l’âme gelée d’un amour geôlier de misère. Qu’au fin fond de mes entrailles s’enchaînent les liens de notre intimité sans chaîne. Ô théâtre funambule de nos jeux d’humeur !
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