L’amour est Lucifer ou un bon dieu …
Le verbe aimer se conjugue au passé c’est certain. Á l’imparfait ce fut même si ce n’était pas parfait. Au présent c’est probable. Au conditionnel c’est subjectif si les conditions sont requises et au futur on l’ignore encore.
Elle n’a plus besoin de ton valium, à son seuil, sa voile au maximum.
Ta voix au minimum en ton cercueil, bois seul ton magnum.
Pour donner ne serait-ce qu'une toute petite preuve d'amour il faut posséder au moins un sentiment. Ceci se nomme richesse d'âme.
Á l'indu tu n'as point de dû, un défilé en aperçu, l’imbu.
Angel, thèse et antithèse …
Langage snob.
Le denier du culte, l’amour dénude l’esprit, le corps puis le cœur le dernier du culte.
Langage du pauvre.
L’amour vous fout à poil dans tous les sens. Il fait craquer toutes vos coutures en dehors et en dedans.
Mouture.
Ma pomme, une âme se pâme, un cœur se paume …
Il y a le tabac à priser et l’amour à priser.
Il y a un cœur à repriser quand l’amour n’est plus guerrier.
Il y a des jours pluvieux où j’écris le cœur soleil.
Il y a des mots pluvieux que j’écris sous le ciel ensoleillé,
Mes mots sont mes amants de papier, namasté.
Á l’élu de mon cœur.
La rose s’éteint entre mes reins, la chaleur de l’âge au creux des seins mais le baiser encore tendre et la lèvre tiède comme du bon pain, fais moi l’amour comme si j’avais mes jupons de jeune mariée. Tu sais … Je ne me suis jamais dévêtue de cette robe blanche.
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