Le lange des roses.
Tombée de silence les roses de l’indifférence,
de la rose éclose au deuil des feuilles mortes,
j’aime le givre déposé.
Il est cette dentelle
du premier baiser
de la mononucléose
à la sclérose
du dernier baiser.
Les mots bâillonnés au cœur de jouvencelle,
roses oubliées,
mes lèvres cherchent la cadence
d’une bouche fleur latente.
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