Le silence des anneaux.
Ma peau parle de toi, hameau langoureux de mon impatience, mon corps frissonne, s’impatiente de tes gestes inégaux mais mon corps s’enivre seul dans mon nid de lune, je songe à ce frisson de lune et m’impatiente dans l’infortune de ton absence. Où es-tu mon tendre sur une autre galaxie où des pierres posées nues sont les barricades de notre vécu. Pourras-tu à nouveau m’enlacer de notre premier slow sans que ne s’égrène la corolle de nos premiers baisers. Ce soir mon cœur n’a pas sommeil, il respire la fleur de notre première rencontre, dépoussière son flacon car l’envie d’embaumer notre couche de son parfum me grise. Tu m’as dit :
–« Je vais t’emmener voir la mère. »
Alors que ses vagues nous entraînent à nouveau vers ma robe blanche et ton annelet d’or.
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