Ni laide, ni belle …
Aller à l’existentiel avec l’essentiel, les missives de la vie, on se sent vieux à ciel ouvert, on se recueille dénudé à cœur fermé. On a l’air d’un con, les bras croisés, le front contre les cieux, rejeton, jeton rejeté mais les dès sont jetés. Bourgeon égrené, vieille graine terrestre, veuve de bougeoir, flamme de lune funeste, la félicité entre terre et ciel, papillon de lumière, je vous emmerde (importune) grimoires et vacarmes, paix à mon âme si bon me semble, mes condoléances frisson de charme. Ô miroir ! Mon beau miroir dis moi que ma mémoire est belle malgré mes rides, le blasphème de mes peines et mes courbes longeant la défaite. Je me sens gosse isocèle.
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