Note blanche, touche noire.
Automne, la rose s’égrène, tombe sa robe de bal. S’estompent les valses d’été dans le corsage funambule de l’amour. Une muse s’agenouille, l’âme fleurie. Les nuées noctambules d’un champ de blés sous le joug de la lune. Une ronde s’abandonne et tourbillonnent les étoiles funèbres d’un cœur blet. Marquises soupirent sous la bise, bellâtre aux mille feux éteints l’astre épistolaire s’éteint clapotis de flaque d’eau sur le chemin du destin. On guinche une dernière fois, l’opinel dans la plaie. Le béguin s’en va au loin, pas cassé de ballerine, il n’y aura pas de regain.
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