Nuit pourpre.
Viens ! Dans la mosaïque de mes yeux je changerai ton décor. De ton corps je me délecterai, velouté d’une soupe sacrée. Je t’inventerai un jardin d’Eden loin de ce monde où des chenapans veulent me chaparder mes sentiments … Je suis ta guirlande pendue au firmament de notre petit bout de temps. Là où l’amour se niche dans un lopin de cœur sans peur et sans reproche. Je suis le nu de ta mémoire, un alexandrin sur les vagues … Je suis ta femme tout simplement avec ses bagages et ses oublis avec ses souvenirs et ses petites folies.
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