Parallèle.
Une rose à cœur chiné.
Comme ce vieux rose à jours pleurés,
glissent les cicatrices.
Et si l'on s'est aimé de pourpre et de larmes oubliées...
De nos matins mendiants sous la voûte du temps ne reste qu'un instant.
Goûter encore un peu le rebord de tes lèvres sous les embruns d'une dernière fièvre.
Tant les roses blanches au vent d'antan nous auront bercés,
d'une larme asséchée,
d'un brouillon d'océan,
je ferai de nous une éternité.
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