La nudité de l'esprit.

La nudité de l'esprit.

Petite flemme.

 
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Garder l'amour entre ses mains comme un matin mendiant, comme un chant qui revient, lignes de la main.
Comme un amant qui s'éteint, chagrin au vent d'autan que nul lien ne tient.
 
Ma mémoire comme un lit de vieilleries, des redingotes de souvenirs y sommeillent, larme à quatre pleurs érosion de cœur. Sans bruit navigue ma prose en le temps aigle royal, et j’ose ensorceler de deux ou trois vers les lignes de ma main, de ces quelques fleurs valse le temps des roses éclosion d’un cœur.
Qu'il est beau de vivre aussi loin qu'un phare peut nous éclairer. 
La nonchalance d'un été indien ailes de goéland.
Voyageur vaurien le temps n'est que danse sur les vagues océanes. 
Viens mon ami sur un tapis de bleu nos deux cœurs s'élancent.
 
La patience récolte le meilleur. Et l’impatience est de mauvaise semence.
 
Un ami ce n'est pas une hirondelle, il ne revient pas forcément à chaque printemps.
Il a besoin d'être choyé si non il risque de s'envoler.
 
 
 
 
 
Rachelhttps://static.blog4ever.com/2006/01/94307/824369001447790619.gifDésir



01/12/2024
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