Poésie.
Que l’on défriche mon recueil, je suis dans l’ombre, sans orgueil. Mon cœur en écueil, receveur de bonheur, j’offre au monde mes veines, chef d’œuvre de mes maux. Sous la palissade de mon âme, s’enflamment émaux, les vitraux de mes mots. Pâle rose fugueuse, qu’un seul écho dans mon hameau devienne tombeau de mes vers trompeurs, amants sans témoin de mes rimes veuves joyeuses. Mes lignes au goût de lèvres pulpeuses, d’un baiser ensemencent des pages blanches.
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