Tant et tant …
Glisse la feuille voile de septembre, mon petit orgueil porte son deuil. Tremblent mes doigts effeuillés de fièvre, tendre chandelle à la ménopause de mes lèvres la rosée éternelle nurse de la rose solennelle. Tant s’effeuille le givre de larmes nouvelles chandelier à ma prunelle. Que nulle ivresse ne s’endorme requiem.
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