Tipi.
Au rythme de la dormance son cœur espère, berceuse de sève … De longues caresses en courbatures, elle roule son chapelet. Traîne de vie roucoulent encore quelques mots d’amour. Rose fanée à la boutonnière de son veston, se figent le blanc et le noir, l’aurore et le soir. La sauvagine dormeuse dans ses cheveux, l’appel des jours métis au gant de velours, la bruine et le soleil. Elle a des miettes dans sa main, la veille, elle les compte pour poursuivre son chemin, le temps gantelet … Et dans le sillon de ses yeux pâlit l’enfant.
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