Vapeurs...
Brouillon d'amour, laisse mourir l'océan... Tes larmes sont les vagues de ton cœur. Le chant de tes lèvres sirène déchue, le spleen des profondeurs. Le mal des roses, s'effeuillent sereines passeuses d'angoisse les roses blanches. Le souffle du temps balancelle de draps nus s'est essoufflé le suc de ta peau. Un vol d'oies sauvages, l'ivresse du grand large et ta prunelle cette inconnue qui passe...
Retour aux articles de la catégorie Le puits de ma conscience. -
⨯
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres