La matrice.
Le ciel se démaquille, un lointain déshabillé… Un parfum sauvage, brouillard et bas résille, des pas de semelles lèche-campagne... Du bout des doigts, un reflet bohémien s'adonne à apprivoiser le silence des souvenirs. Cadence noctambule, des heures moribondes ne reste plus qu'un funambule passeur de lunes. Solstice d'ivresse ta main sur la poitrine, émerge salvatrice narratrice la mélancolie.
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