Brèves d’une précieuse, smile breate and go slowy.
Des pleurs sous ton chandail, lambine la môme et son scandale. Va-nu-pieds un chemin baroudeur chemine libertin. Gémit un écho souterrain, tremble une main ses caresses sous soins intensifs … Et tu oses laisser frémir la rose au portillon du sable fin, mendiante entre tes reins. Á faire mourir le marquis de Sade, à faire pâlir l'éphéméride nous irons jusqu’au bout de tes lèvres. Et la neige de septembre maquille nos larmes, indécent voyage dans le bas de mes reins la chute de nos feuilles mortes, dentelle éphémère sur un rebord de hanche. Et cet embrun de vie émigré dans d’autres bras lynche nos draps. Dans le serpentin de mes seins se perd guenille ta main. Ouvreuse bohémienne une ancienne prunelle ombrelle de pucelle. Au bout des mes doigts l’opium de nos derniers ébats, gantelet de schiste d’un noir et blanc. D’un temps baigneur, un dernier accord majeur lyre de pluie lissant mes reins. Et papier mâché sur un pupitre s’entrouvre cahier de brouillon une fièvre collégienne. La chamaille de quelques pages puis la panade entre nos lignes voile d’indolence le charme d’un quartier latin, dans la paume de ta main les archives d’un cœur bohémien. Et tous ces marins sur le vieux port d’Amsterdam, magicien d'ose, dans leur manche le drame de la cale, pour tout bagage un brise-femmes. Dernière somation la main de l’orgueil au portefeuille. Barman ? Un carpaccio de tendresse !
Sourire, respirer et aller tendrement ...
Inscrivez-vous au site
Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour
Rejoignez les 29 autres membres