Câlin d’arôme.
Grésillent quelquefois dans ma mémoire des mots quand la nuit s’habille de vie. Quand la vie emprunte ses souterrains masqués c’est sous tes reins que je suis en vie, la vie vêtue de rose, dans son habit de rose trémière. Passe rose … Mais la vie vaut bien quelques piqûres d’épines. Outrepasse la vie … Mais la rose vaut bien le vaccin de la vie.
L’essence de la vie se consume parce que l’éphémère reste la beauté de l’essentiel.
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