Chus sous l’hiver …
Trouver sous le feuillage d’automne un peu de tiédeur de l’été fané, quelques battements de cœurs de tes doigts pianotant par erreur sur le bout de mes seins endormis … S’en aller quérir un morceau de soleil dans nos vieux draps, mouiller, le dernier quai nos cœurs ancrés. La faiblesse du geste, hirondelle désailée, perdus au fond d’un faubourg deux hirondeaux, l’âme pagaie, bégaient, soliste, des mots d’amour, redorer mes lèvres d'une fièvre, du pourpre de la rose. De notre nid de chanvre, de chevelure grise, mes courbes te font encore la cour.
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