Drakkar.
Sous ta main de cendre renaissent les caresses d’Esméralda, notre Notre-Dame de Paris cendreuse sur le parvis laisse mourir la veuve orpheline. Une canne à l’appui trébuchent nonchalantes les ruelles, défilé de nuit au délice des mille et une nuits. S’étoffe le filigrane d’un péché de temps le septième d’une capitale d’insomnie. Flirt d’une nonchalance la tendresse volubile d’un coucher de reins sous la rose éclose ose attendrir l’aumône d’une aurore. Arabesques de vie murmure la soie sous le jupon aigri. Les murmures d’une valse s’enchevêtrent frange de cheveux blonds et de mèches grisées. La cabriole d’un papillon aux ailes évincées sous un drapé d’insolence de draps blancs, s’étouffe le brasier de minuit dans un lange appauvri au souffle de nuits blanches, la cambriole de l’âge d’or.
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