Exquises guenilles.
Valse la rivière avec ses veilles éternelles, sentinelle aux chatoyantes larmes. Ses rives se souviennent des perles de rosée carressant le roseau et si à touche-touche d'une prunelle te reviennent, garrigue, au port des eaux mortes, les tristesses de l'airelle courroucée; d'un vol d'oies sauvages se fige le banc des assises. Filandière sous l'aile de l'hirondelle les ondées de novembre te ramèment au puits de l'enfance où s'endort la lavandière épuisée d'avoir tant puisé.
La desserte des vieux jours, dissertation au vent postal; le cœur embryonnaire.
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