Geisha.
La belle aux seins de velours, aux yeux sourds, écoute brûler une lettre d’amour … Les heures en éventail, les jours toisent son ventre rond, ultime ardoise, impayé d’un vagabond au baluchon de mortes saisons. Reparlez-lui d’amour, du printemps et de son chant d’amour, les oiseaux ont toujours sur leurs ailles un refrain d’amour … Ne reste plus qu’un nourrisson ... Fidèle au sein de sa mère sous un cœur en rémission des amants d’un jour.
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