Les guenilles...
J'attendrai l'instant illégitime pour parapher ta main et la caresse légitime paragraphe de ton cœur au recueil de nos guenilles.
L'âme au vent,
fugitifs des saisons
les petits bleus.
les petits bleus.
Un dernier rai d'un soleil fugitif, et laisser fleurir la gerbe. Parce que la lumière lui fait mal aux yeux il part sans se retourner. Aux quatre vents d’une vie flamber musette, c’est peut-être Noël… J’entends encore ses pas… Chaland de ses cheveux au vent, roulent les galets aux pleurs de la rivière, un pont s’est courbé, s’enrôlent les peupliers pour l’amour d’un marin échoué. Et la houle et la rive lycéennes enjôleuses, écharpe à son cou… Roulis une larme caracole capricieuse orpheline.
Quand flâne la brume,
rêve passager,
quand passe bohème
le revers de tes lèvres.
Berceuse vénitienne
les caresses s'entremêlent
chapardeuses de silence.
les caresses s'entremêlent
chapardeuses de silence.
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