Myriade de chemin.
Elle danse, un flirt avec le vent, sur sa branche le cœur en extase. Se mélangent hanches et langage d’un lange. S’entrelacent jupon blanc et pas de danse, à pas chassé la ballade de l’innocence. La bise lui mordille l’oreille, ses cheveux au noir de ces femmes tzigane entremêlent le temps et ses révérence, elle valse. Elle rêve de chevaux blancs, de caravane au voyage interminable. Sur ses lèvres est hôtesse la rivière pourpre au mélange de sel et de miel. Se couchent cortège quelques mots sur sa bouche. Dans la fièvre du couchant filet de porcelaine, se déshabille la femme-enfant sous les lacets éphémère du corsage du firmament.
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