Prose au pourpre du poète.
Fusil à l’épaule mais tendre au cœur, en miel se déverse ma poésie. Ta bouche est un poison mortel, tes lèvres ont le goût de cyanure. Quand chaque verset au creux des tes reins devient un poème, le drain de l’amour me parcourt en silence. S’éveillent les bontés de ma couche, s’allongent mes courbes, poudre des anges entre les seins, ma peau, mèche des sens. Tes doigts tremblent, caresse du pauvre, sous ta paupière s’effondre l’essence d’Adonis.
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