Slow recourbé.
Il n’est plus épais manteau que le froid de l’hiver quand la morte-saison brime l’hirondelle. Le cœur rétro, métro où médaillon les pleurs s’enchaînent. Et candides reviennent les valses de Vienne … Touche imprim écran au bord de la prunelle, une lèvre vénitienne se rappelle première de cordée des baisers en rappel. Un frisson de tendresse parcouru du bout des doigts et ruelle sans guet se referme une main. Coquin de renard dans ton fourré tu guettes, furet dans son fourreau. La déprime de Zola, l’escarmouche Damoclès … Se fige une larme pucelle sur un quai d’Orléans. Les fleurs jouvencelles lange au vent, prisonnier de la rosse trémière passe rose le temps. Passe la rose passe d’une maison close, la larme lavandière passerose à l’aube trémière. Va-nu-pieds mon doux berger en ce verger nos pas d’étrangers virevoltent et l’été s’en va quérir les feuilles mortes. Ce nu inébranlable cime sur un môle à la paupière dormeuse tant fugue l’été indien à la voile fugitive des jours anciens. S’égrainent livides les draps blancs d’un vingt ans, firmament cintré. Et dans ce grand lit vide se souviennent, passifs, des caresses d’antan des seins aux nausées frivoles recroquevillées. Passe carrousel passereau tant la vie tangue, tangue … Y flottent ailes d’anges les amours passeurs.
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